Paroisse Saint-Julien
  Paroisse Saint-Julien         

Communauté religieuse : La congrégation des franciscaines      adoratrices réparatrices du Sacré Coeur

La Congrégation des Franciscaines Adoratrices Réparatrices du Sacré-Cœur est une congrégation religieuse catholique, fondée pour servir dans l’esprit de prière, de réparation et de dévouement au Cœur du Christ. Sa mission s’articule autour de la contemplation, de l’adoration eucharistique perpétuelle, ainsi que d’engagements concrets dans des œuvres de charité et de miséricorde.

 

Présente dans le diocèse de Dijon, la congrégation a la charge de la chapelle de l’adoration perpétuelle située au 7 rue Dubois, à Dijon, et assure une présence spirituelle active auprès des résidents de la maison Saint-Joseph à Saint-Julien. Soeur Marie-Michel assure la mission à Dijon et Soeur Marie-Armelle à Saint-Julien.

 

La Maison Saint-Joseph, implantée au 14 rue du Moulin à Saint-Julien, fut construite dans les années 1830. Elle a d’abord accueilli une école de filles pendant plus d’un siècle, avant d’être transformée en maison de retraite en 1955. Aujourd’hui, l’établissement est un EHPAD de 85 places géré par l’association Habitat & Humanisme.

 

Dans ce lieu chargé d’histoire, les sœurs franciscaines poursuivent leur mission en assurant une présence chrétienne bienveillante auprès des résidents. Elles œuvrent au quotidien par le soutien, l’accueil, l’animation de la vie religieuse et l’accompagnement des personnes en difficulté. La maison a également abrité, autrefois, le noviciat de la communauté.

La chapelle de la Maison Saint Joseph à Saint-Julien est un des lieu de célébrations de la paroisse.

 

La messe y est célébrée :

- le lundi à 18h30

- le vendredi à 10h30 (messe des résidents)

- le samedi : office des Laudes à 8h30 suivi de la messe.

 

Chaque jour, prière du chapelet.

 

 

 

Chaque année, le 10 février, les Soeurs participent à la messe de réparation fondée « à perpétuité » en l'église Saint-Michel de Dijon  (pro reparatione injuriarum SS. Sacramento).  Cette messe fut dite la première fois le 10 février 1826. À cette occasion, les Soeurs déposent une rose devant l'église  à l'endroit où fût profanée la Sainte-Hostie de Dijon.

 

 

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